Une banlieue pourrie où règnent la violence et le vice.
Dans cette banlieue pourrie, un caïd imposant sa loi d’une main de fer.
Un bar, un bordel, un quartier entier appartenant au caïd.
Un bar, un bordel, un quartier entier convoité par un autre caïd.
Un caïd plus jeune, ambitieux et prêt à tout pour régner sur cette banlieue.
Dans cette banlieue pourrie, un tueur, ancien soldat efficace et froid.
Son seul intérêt : une ex-pute du bordel, désormais tenancière du bar.
Du bordel au bar, mais toujours propriété du caïd.
Un tueur, une ex-pute, un seul rêve : vivre ensemble, libres et loin de cette banlieue pourrie.
Le caïd en place embauche le tueur contre le caïd aux dents longues.
Le salaire : l’ex-pute, sa liberté et une vie à deux loin de cette banlieue pourrie.
Avalanche d’alliances, trahisons, et contrats douteux.
Avalanche de meurtres, tueries, et règlements de compte
Dans les bulles, peu de mots.
Une certaine poésie, mais une poésie du désespoir.
Au dessin, peu de couleurs.
Une certaine virtuosité, mais une virtuosité du noir.
Au final, un album sans concessions ni sentiments…
…à l’image du tueur : efficace et froid.
Le temps de vivre, de Séra & Piatzszek (ed. Futuropolis).