Césars 2025

Meilleur Film : Emilia Perez
Meilleur Réalisation : Jacques Audiard
pour Emilia Perez
Meilleure Actrice : Hafsia Herzi
pour Borgo
Meilleur Acteur : Karim Leklou
pour Le Roman de Jim
Meilleur Scénario Original : Boris Lojkine et Delphine Agut
pour L’histoire De Souleymane
Meilleure Adaptation : Jacques Audiard
pour Emilia Pérez
Meilleure Photographie : Paul Guilhaume
pour Emilia Pérez
Meilleur Montage : Xavier Sirven
pour L’Histoire de Souleymane
Meilleure Actrice dans un second rôle : Nina Meurisse
pour L’Histoire de Souleymane
Meilleure Acteur dans un second rôle : Alain Chabat
pour L’Amour ouf
Meilleur Espoir Féminin : Maïwène Barthélemy
pour Vingt Dieux
Meilleur Espoir Masculin : Abou Sangaré
pour L’Histoire de Souleymane
Meilleur Film Etranger : La Zone d’intérêt
de Jonathan Glazer
Meilleur Long-métrage d’animation : Flow, Le Chat Qui N’avait Plus Peur De L’eau
de Gints Zilbalodis
Meilleur Court-métrage d’animation : Beurk !
de Loïc Espuche
Meilleur Long-métrage documentaire : La ferme des Bertrand
de Gilles Perret
Meilleur Court-métrage documentaire : Les Fiancées du sud 
d’Elena López Riera
Meilleur Court-métrage : L’Homme qui ne se taisait pas
de Nebojša Slijepčević
Meilleur Premier Film : Vingt Dieux
de Louise Courvoisier
Meilleurs Costumes : Thierry Delettre
pour Le Comte de Monte Cristo
Meilleurs Décors : Stéphane Taillasson
pour Le Comte de Monte-Cristo
Meilleur Son : Erwan Kerzanet, Aymeric Devoldère, Cyril Holtz, Niels Barletta
pour Emilia Pérez
Meilleure Musique : Clément Ducol, Camille
pour Emilia Pérez
Meilleurs Effets Visuels : Cédric Fayolle
pour Emilia Perez
César d’Honneur : Julia Roberts
César d’Honneur : Costa Gavras


crédits photos : © DR – Académie des César

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Rédacteur en chef de Angle[s] de vue, Boustoune est un cinéphile passionné qui fréquente assidument les salles obscures et les festivals depuis plus de vingt ans (rhôô, le vieux...) Il aime tous les genres cinématographiques, mais il a un faible pour le cinéma alternatif, riche et complexe. Autant dire que les oeuvres de David Lynch ou de Peter Greenaway le mettent littéralement en transe, ce qui le fait passer pour un doux dingue vaguement masochiste auprès des gens dit « normaux »… Ah, et il possède aussi un humour assez particulier, ironique et porté sur, aux choix, le calembour foireux ou le bon mot de génie…

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